Alors Arlette heureuse

L’histoire que vous propose cette année le Groupe Théâtral de Court est bien entendu les péripéties d’une rencontre, celle d’Arlette et de Gontrand, qui vous l’aurez bien imaginé, prendra des allures détonantes, drôles et tonitruantes où l’amour se présentera principalement sous les augures de la surprise et de ses affres. Pas d’inquiétude, le mariage sera finalement beau et festif.

Il y a la rencontre d’un auteur avec une très belle écriture, cocasse et efficace. De belles situations de jeu et le plaisir de jouer.

Il y a aussi ma rencontre avec la troupe et ses comédiens avec qui je travaille pour la première fois. Certes j’apprécie la troupe depuis déjà de longues années distillant le bonheur du rire et de la bienveillante camaraderie.

Une collaboration artistique, dans la complicité et le partage de la mise en scène ne peut qu’apporter joie, satisfaction et le résultat d’une réussite. Aujourd’hui c’est une autre et délicieuse rencontre qui s’annonce, celle avec vous, public, celle qui donne toute la valeur et l’émotion au théâtre.

Une pièce de Jean-Claude Martineau, mise en scène par André Christe et Francis Schütz.
Avec Mesdames :

• Mégane Wüthrich (Arlette)
• Danielle Wyss (Léopoldine de Saint-Moret)
• Danièla Cancer (Ellen Detroit)
• Juçara Carrupt (Carmélita)

et Messieurs :

• Olivier Ruf (Gontrand de Saint-Moret)
• Frédéric Lauber (Florent)
• Yves Perrin (Armand Barbotiche)
• Thibault Wyss (Julien Tournepin)